Hier, en revenant du boulot, j’ai eu droit à une bonne pluie, du début à la fin.
Pas une petite pluie fine ou trois gouttes par-ci par-là. Pas non plus les trombes d’eau tropicales (là, il vaut mieux éviter le vélo ou attendre 5 minutes que ça passe). Non, juste une pluie normale, continue et sans chichi.
Et comme je suis une femme prévoyante, j’ai pris ma cape de pluie. C’est un truc que m’a donné une copine : avoir deux capes de pluie, dont une au bureau au cas où. J’ai donc utilisé ma cape de pluie « jaune canari géant ».
Mon autre cape est noire et jaune, celle vendue par une grande surface bien connue spécialisée en vêtements et articles de sport. J’ai donc pu comparer les deux modèles. Comme pour beaucoup de choses, c’est bien la cape la plus chère qui fait le job.
Donc ma jaune, type « poussin géant », à 70 €, m’a super protégée. Mais le truc absolu, c’est de mettre un chapeau en dessous de la cape… Là, j’ai eu zéro goutte sur mes lunettes !
Ok, j’avais pas le super style… Mais je me suis dit que pédaler, c’est pas non plus un défilé de mode, et tant pis pour la Parisienne chic qui sommeille en moi.
Le sec plutôt que la classe !
(47e épisode)